Les constituants du groupe nominal


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GN 410


GN 410
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Au camp, c'est la seule nourriture dont on dispose. L'autre rive ressemble à la rive sur laquelle il est. On entend la voix des Hmongs qui sont en France, en Amérique et en Guyane. Je peux apprendre des choses que je ne connais pas. Sur l'écran, des choses que l'on ne peut pas toucher apparaissent devant les yeux.
GN 414
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Julien prend la hotte qu'il accroche dans son dos. Un interprète qui parle hmong, thaï et français est venu vers eux. Devant la maison, il y a un égout ouvert qui sent mauvais. Elle enduit ses jambes d'une pommade qui picote et rafraîchit. Il pense au grand repas où l'on mange beaucoup de viande.
GN 411
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L'argent que je peux gagner sera utile pour le départ. Autour de sa taille, Jacques attache le sac où il mettra les grains à semer. Le chien ne doit pas rentrer dans l'endroit où l'on mange. Le ciel est lourd comme dans la montagne où se trouve le village de San Luong. Suzanne attend le jour où son frère lui laissera essayer la sienne.
GN 415
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A l'heure où le soleil s'incline, ils ont emmené l'oncle de Jacques. En haut de la colline, il connaît un endroit où on l'aperçoit des montagnes. A cet endroit précis où ils se sont arrêtés, une rivière coule. Selon Jacques, un sacrifice au dieu de la terre n'est pas un secret que l'on doit partager.
GN 412
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Ils ont marché sans s'arrêter jusqu'à l'heure où le soleil va disparaître. Muriel, qui mange de moins en moins pour laisser la nourriture aux enfants, n'a plus de lait à lui donner. Jacques prend la main de sa mère qui pleure doucement. Jacques va voir le village qui fume encore, les groupes de gens qui pleurent... Après la saison des pluies, viennent des fraises qui sont juteuses et fraîches.
GN 416
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Jacques écoute, à la radio, des voix que ses parents ne comprennent pas. Au milieu de la nuit, ils entendent un claquement qui les réveille. Muriel accroche des brindilles de paille tressée qui sont une protection contre les dangers. Han Thao prend le bras de Julien qui met sa main dans la main de Muriel. Julien ne craint pas les soldats qui sont au village.
GN 413
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Muriel vient de tuer le seul poulet qui reste. Ils ont renouvelé leur réserve d'eau dans les rivières boueuses qui attendent les premières pluies. Ce sont peut-être des soldats qui s'amusent à effrayer les gens des villages. Les bruits de moteur sont ceux des avions qui portent des bombes.
GN 417
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La guerre, selon Julien, c'est l'esprit du tonnerre, l'esprit du tigre qui font alliance. Le chien qui reste toujours dehors s'était précipité dans la maison. Les soldats ne font pas brûler les maisons des Hmongs qui nous trahissent. Muriel pose la question, découragée de tous les malheurs qui se rapprochent de son village. Muriel vérifie si les bretelles qui attachent le porte-bébé sont bien serrées.


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